Pour débuter cette nouvelle semaine, voici un jolie spécimen de nanar candide. Le genre de nanar auquel on s'attache, comme on pourrait s'attacher à un chat à trois pattes.
L'artiste, sensibilité à fleur de peau oblige, déclame sur ses airs de guitares guimauves, ses textes naïf à souhait et d'un nian-nian sans équivoque. On passe d'un magnifique "l'enfer s'ouvrait devant elle, porte rouge derrière les étincelles" (on parle ici d'une coccinelle, lol) à "j'étais trop plongé dans mes délires (no coment), j'ai trop attendu pour te dire (répéter au moins trop fois).... je t'aiiimèèè"
La splendide partition guitare 3 accords en boucles va à merveille avec la voix complètement faussée de notre doux poète niais, qui aurait dû aussi attendre d'être complètement remis de sa trachéite. Pour ma part, bien que n'étant pas médecin, je préconise la méthode Céline Dion : le silence pendant... hmm, disons 10 ans :)
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