Aaaaahhh, Magnifique ! L'un de mes nanars préférés ! J'éprouve pour celui-ci une vrai tendresse :')
Soyons franc, musicalement ce n'est pas mauvais, de la dance de bonne facture mais quant même un peu trop "commercial", c'est-à-dire un peu 'mille fois entendu". La voix : parfois des ratés (voix tremblotante), mais somme tout agréable.
Mais le texte ! c'est de la folie ! lol.
Extraits : "Même si le soleil vient de se lever, pour moi tu resteras toujours dans mes pensées", ou "ce navire qui t'appelle pour te faire naviguer, n'a que l'envie de réveiller le monde entier"... INCROYABLE ! lol lol lol
Ce nanar très kitsch est en même temps incroyablement attendrissant, notamment à cause de sa naïveté. Saluons au passage la découverte du Label MOB, dont on vous reparlera d'ici quelques temps.
Allé tous ensemble : "tu m'as laissé le cœur désespéré, tu resteras toujours dans mes pensées"
Au delà du navet, du jeanfoutisme éhonté, se trouve une contrée magique : le pays du nanar auditif.
Tellement surréaliste, énorme et en dehors de toute logique que le nanar en devient drôle, voire ludique.
Un nanar c'est bien plus qu'un navet !
Tellement surréaliste, énorme et en dehors de toute logique que le nanar en devient drôle, voire ludique.
Un nanar c'est bien plus qu'un navet !
24.1.11
Les mutants sont parmi nous... cachés en nanars !
Heu, un Dj c'est un... Dj, non ?
Et un chanteur, c'est un ... chanteur, non ?
Mais c'est quoi un Dj-chanteur ??? Bah, surement encore un truc modifié génétiquement (saleté d'OGM, lol)
Bon alors, sur la partie Dj c'est pas trop mal en fait, y'a même du son sympatoche. Par contre le partie (mutante, donc) chanteur, heu... comment dire : c'est faux, non ? Bin oui c'est faux, le texte parait même improvisé totalement et grammaticalement c'est pas l'top non plus (je crois que "bébé, je vais te faire heureuse" c'est pas correct, mais bon j'suis pas Bernard Pivot non plus).
Et oui le nanar n'a pas de frontière et ne craint aucun style musical. Ce magnifique album de dance-variété en est une éclatante preuve :)
Et un chanteur, c'est un ... chanteur, non ?
Mais c'est quoi un Dj-chanteur ??? Bah, surement encore un truc modifié génétiquement (saleté d'OGM, lol)
Bon alors, sur la partie Dj c'est pas trop mal en fait, y'a même du son sympatoche. Par contre le partie (mutante, donc) chanteur, heu... comment dire : c'est faux, non ? Bin oui c'est faux, le texte parait même improvisé totalement et grammaticalement c'est pas l'top non plus (je crois que "bébé, je vais te faire heureuse" c'est pas correct, mais bon j'suis pas Bernard Pivot non plus).
Et oui le nanar n'a pas de frontière et ne craint aucun style musical. Ce magnifique album de dance-variété en est une éclatante preuve :)
J'ai pas d'idées, mais j'ai internet !
Ce titre résume bien à lui tout seul la profonde débilité de cet album, complètement à côté de son sujet "fantaisiste". Car ici la fantaisie qui va bien à beaucoup de groupes talentueux, et là complètement nanardisé par une interprétation... comment dire... sous produits quelque peu interdit, lol.
Nos joyeux lurons déclenchent évidemment l'hilarité mais mon avis que ce n'est pas exactement pour les raisons auxquelles ils s'attendaient. Bon disons aussi qu'il y a beaucoup de foutage de tronbines. Donc si vous voulez le classez dans la catégorie navet je comprendrais parfaitement...
Nos joyeux lurons déclenchent évidemment l'hilarité mais mon avis que ce n'est pas exactement pour les raisons auxquelles ils s'attendaient. Bon disons aussi qu'il y a beaucoup de foutage de tronbines. Donc si vous voulez le classez dans la catégorie navet je comprendrais parfaitement...
Le jambon, un ami qui vous veut du bien...
Aaah, encore un nanar qui se prend pour une "expérience", j'adore :)
Ce qui est bien c'est que le groupe vous donne en fait toutes les recettes pour vous la péter gravos "artiste underground". Décryptage :
1- vous piquez le xylophone du p'tit frangin et vous tapez nonchalamment sur les lamelles métalliques,
2- vous slamez (ou faite comme si) des paroles qui n'ont qu'un sens très relatif,
3- vous finissez en ajoutant plein de sons foireux et haussez le ton de la voix.
Et bingo ! vous avez un nanar :)
Vous pouvez bien entendu faire des déclinaisons notamment en changeant l'objet de l'étape 1, par par exemple un vrai-faux son de scie chantante, ou un aspirateur avec plein de réverb' en boucle, ou même juste un stylo sur du bois :)
Aaah les nanars qui s'la pète...
Ce qui est bien c'est que le groupe vous donne en fait toutes les recettes pour vous la péter gravos "artiste underground". Décryptage :
1- vous piquez le xylophone du p'tit frangin et vous tapez nonchalamment sur les lamelles métalliques,
2- vous slamez (ou faite comme si) des paroles qui n'ont qu'un sens très relatif,
3- vous finissez en ajoutant plein de sons foireux et haussez le ton de la voix.
Et bingo ! vous avez un nanar :)
Vous pouvez bien entendu faire des déclinaisons notamment en changeant l'objet de l'étape 1, par par exemple un vrai-faux son de scie chantante, ou un aspirateur avec plein de réverb' en boucle, ou même juste un stylo sur du bois :)
Aaah les nanars qui s'la pète...
Ké ? Kea ?... le nanar préhistorique.
Le nanar musical n'épargne personne. Même les artistes ayant par le passé connu les éloges peuvent pondre un nanar. C'est un peu comme Alain Delon, au début de carrière si immense et à la fin si nanardesque.
Ici l'artiste tente une expérience régressive, une musique instinctive et primitive. Bon disons-le de suite, le résultat ressemble plus à un Fred Pierrafeu complètement bourré lors d'une soirée karaoké. Les sons dissonants et au mélange assez incongru (de la techno d'époque, lol).
Ça me rappelle ce bon nanar cinématographique qu'est Blueberry, ou le réalisateur avait tenté tant bien que mal de cacher le naufrage annoncé du film sous couvert d'une étiquette "film chamanique" (lol, comme si ça voulait dire quelque chose).
Le 2ème titre est juste une énorme prise de tête, autour d'un ventilateur et d'un stylo... insoutenable !
Pour le dernier titre on retourne en arrière avec toujours cette impression pierrafonique ou l'alcool coule à flot. Bref, un nanar qui n'est finalement pas très éloigné du navet quant même...
Ici l'artiste tente une expérience régressive, une musique instinctive et primitive. Bon disons-le de suite, le résultat ressemble plus à un Fred Pierrafeu complètement bourré lors d'une soirée karaoké. Les sons dissonants et au mélange assez incongru (de la techno d'époque, lol).
Ça me rappelle ce bon nanar cinématographique qu'est Blueberry, ou le réalisateur avait tenté tant bien que mal de cacher le naufrage annoncé du film sous couvert d'une étiquette "film chamanique" (lol, comme si ça voulait dire quelque chose).
Le 2ème titre est juste une énorme prise de tête, autour d'un ventilateur et d'un stylo... insoutenable !
Pour le dernier titre on retourne en arrière avec toujours cette impression pierrafonique ou l'alcool coule à flot. Bref, un nanar qui n'est finalement pas très éloigné du navet quant même...
16.1.11
Cendrillon c'est Cendrillon, et Cindy c'est Cindy !
Pour ce nanar, on quitte le monde de la musique sous licence libre (CC) pour celui de la Sacem and Co. et avec du lourd, du très très lourd : "Cindy, Cendrillon 2002"
Et c'est avec grand plaisir que j'ai vol... hmm, que j'ai repris la magnifique dédicace de Barracuda du non moins extraordinaire site www.nanarland.com. Je ne prends qu'un court extrait sur les paroles de cette "surprenante" comédie musicale et vous encourage à lire la suite ici (< maman clique sur ici... non là... arrgh) :
"Le papa de Cindy explique à sa fille: « Je pilote un avion, qui porte le beau nom de Concorde / Je passe le mur du son, comme toi tu danses à la corde »
Cindy, en colère après sa belle-famille : « J’entends des voix qui chuchotent / voilà les trois chochottes » (s’en suivent moultes rimes en « otes », toutes plus bancales les unes que les aut'). La belle-doche ne se laisse pas démonter et lui rétorque un cinglant « Mais que faut-il donc faire, pour lui fermer la gueule ?»
La Palma, belle-mère de Cindy, fut en son temps une Disco-Queen. Elle nous apprend que "Quand on a été Disco-Queen, on l'est pour la vie". Vous vous en foutez ? Moi aussi."
Et le nanar-world-awards est décerné à...
Un grand merci à CircusMarcus, qui a vendu ses compatriotes belges dans cette incroyable vidéo. De l'émission à la prestation musicale tout y est ! du nanar en barre, que dis-je : en or massif !!!
J'aurai pu en écrire en long et en large, mais franchement, sur ce coup, ça se savoure juste en le regardant : chaque seconde, chaque élément du décor, chaque mot du présentateur, chaque refrain, chaque spectateur du plateau... bref chaque fibre et élément de cette vidéo est un pur concentré de nanardises... incroyable :)
(j'en verserai presque une petite larme)
J'aurai pu en écrire en long et en large, mais franchement, sur ce coup, ça se savoure juste en le regardant : chaque seconde, chaque élément du décor, chaque mot du présentateur, chaque refrain, chaque spectateur du plateau... bref chaque fibre et élément de cette vidéo est un pur concentré de nanardises... incroyable :)
(j'en verserai presque une petite larme)
J'te kiffe, t'es nul ! Yo !
Parfois les bonnes idées se prennent les pieds dans le tapis, passent à travers la fenêtre, roulent dans les ronces, dévalent la pente en s'écorchant sur les silex, pour finir par tomber de la falaise en s'écrasant comme une grosse bouse dans 10cm d'eau... à plat !
C'est un peu le principe de ce qui fut à l'origine une parodie, mais qui par manque de sérieux loupe complètement son but. Et oui le nanar est comme ça, il est généreux dans l'échec. Le pathétique du texte frôle le Doc Gynéco des grands soirs. Mais certains pesteront, disant que ce navet insulte la nanartitude. Pourquoi ? Peut-être parce que le pire est que ces textes mal écrit, car pas assez pensés, deviennent carrément ignobles par moment (et sans second degrés)
On va dire "dommage" pour les 2 secondes pendant lesquelles ce fut une bonne idée (la parodie), et "victoire" pour le reste du titre qui le fait rentrer dans la grande famille du Pire tout Pire :)
C'est un peu le principe de ce qui fut à l'origine une parodie, mais qui par manque de sérieux loupe complètement son but. Et oui le nanar est comme ça, il est généreux dans l'échec. Le pathétique du texte frôle le Doc Gynéco des grands soirs. Mais certains pesteront, disant que ce navet insulte la nanartitude. Pourquoi ? Peut-être parce que le pire est que ces textes mal écrit, car pas assez pensés, deviennent carrément ignobles par moment (et sans second degrés)
On va dire "dommage" pour les 2 secondes pendant lesquelles ce fut une bonne idée (la parodie), et "victoire" pour le reste du titre qui le fait rentrer dans la grande famille du Pire tout Pire :)
Poésie et points noirs... tout un programme.
Pour débuter cette nouvelle semaine, voici un jolie spécimen de nanar candide. Le genre de nanar auquel on s'attache, comme on pourrait s'attacher à un chat à trois pattes.
L'artiste, sensibilité à fleur de peau oblige, déclame sur ses airs de guitares guimauves, ses textes naïf à souhait et d'un nian-nian sans équivoque. On passe d'un magnifique "l'enfer s'ouvrait devant elle, porte rouge derrière les étincelles" (on parle ici d'une coccinelle, lol) à "j'étais trop plongé dans mes délires (no coment), j'ai trop attendu pour te dire (répéter au moins trop fois).... je t'aiiimèèè"
La splendide partition guitare 3 accords en boucles va à merveille avec la voix complètement faussée de notre doux poète niais, qui aurait dû aussi attendre d'être complètement remis de sa trachéite. Pour ma part, bien que n'étant pas médecin, je préconise la méthode Céline Dion : le silence pendant... hmm, disons 10 ans :)
L'artiste, sensibilité à fleur de peau oblige, déclame sur ses airs de guitares guimauves, ses textes naïf à souhait et d'un nian-nian sans équivoque. On passe d'un magnifique "l'enfer s'ouvrait devant elle, porte rouge derrière les étincelles" (on parle ici d'une coccinelle, lol) à "j'étais trop plongé dans mes délires (no coment), j'ai trop attendu pour te dire (répéter au moins trop fois).... je t'aiiimèèè"
La splendide partition guitare 3 accords en boucles va à merveille avec la voix complètement faussée de notre doux poète niais, qui aurait dû aussi attendre d'être complètement remis de sa trachéite. Pour ma part, bien que n'étant pas médecin, je préconise la méthode Céline Dion : le silence pendant... hmm, disons 10 ans :)
Mesdames et messieurs : voici une légende du nanar !
Extrait du documentaire "Ma vie avec les Lourdingos de la jungle Amazonienne"
"...voilà deux jours que mon équipe et moi marchons inlassablement dans la forêt. Une marche éprouvante dans la boue, au milieu des serpents, chauve-souris et autres moustiques géants. Mais nous touchons au but !
Notre guide nous affirme que le dernier survivant de la tribut des Lourdingos vit non loin d'ici. Soudain le preneur de son s'arrête. D'un signe de la main, le casque sur les oreilles branché au micro parabolique, il fait signe de faire silence. Le regard concentré, il écoute... quant soudain son visage se rempli d'effroi ! A peine une dizaine de secondes après il convulse, les yeux révulsés, la bave mousseuse sortant de sa bouche, il s'écroule. Nous sommes choqués, mais notre guide arbore quant à lui un large sourire et nous dit dans un français approximatif "Ah ! ça être bien, vouloir dire lui pas loin". Lui ? le dernier des Lourdingos ? étrange...
Après 10 minutes, notre preneur de son reprend des couleurs. Mais reste prostré près d'un arbre, refusant d'aller plus loin. Le guide se propose de rester avec lui, et montre du doigt la direction sud/sud-est. D'après lui le Lourdingos est a à peine 100m dans cette direction. Nous décidons de poursuivre.
Après avoir finalement marcher plus de 500m dans cette direction, un bruit se fait entendre... le feuilles autour de nous bougent... on entend des bruits comme de pas, mais furtifs et rapides... et d'un seul coup il jaillit devant nous !... par contre on s'attendait à tout sauf à ça :
Un imposant bonhomme, muni de petites lunettes rondes, un t-shirt vaguement métaleux et un pantacourt faussement trailli militaire... étrange, vraiment. Je tente un contact amical, lançant un "comment ça va ?" mais je ne suis pas sûr qu'il ait compris mes intentions. En effet, son regard change, ses sourcils se froncent. Il se retourne et sort d'un sac-à-dos ce qui ressemble à un magnétophone ! Incroyable les Lourdingos connaissent la technologie moderne ?! Il appuie sur un bouton, une cassette s'enclenche... Et là, en quelques secondes j'ai compris ce qu'à ressenti notre preneur de son ! Une douleur atroce ampli nos oreilles ! Du magnétophone sort un son pseudo-techno, cheat au possible et particulièrement mal arrangé, où des samples disparates s'alignent les uns à côtés des autres. C'est tellement énorme, que des rictus apparaissent sur la plupart des visages des membres de l'équipe. Certains tombent même dans le fou-rire. Et puis notre Lourdingos commence à chanter est là ça devient carrément une torture ! Jamais dans toute l'histoire de l'humanité on a entendu quelqu'un chanter aussi faux tout en étant persuadé d'avoir un style et une voix génial. La torture que nous subissons réside dans la douloureuse contradiction de souffrir de l'écoute auditive de ce massacre musical tout en pleurant de rire à en avoir mal à l'estomac. Soudain tout s'arrête. Le Lourdingos reprend son attirail et repart dans la jungle.
Nous sommes tous dans un état second, agar, le sang coulant de nos oreilles. Mais ils nous faut maintenant repartir. Mais qui nous croira au retour..."
"...voilà deux jours que mon équipe et moi marchons inlassablement dans la forêt. Une marche éprouvante dans la boue, au milieu des serpents, chauve-souris et autres moustiques géants. Mais nous touchons au but !
Notre guide nous affirme que le dernier survivant de la tribut des Lourdingos vit non loin d'ici. Soudain le preneur de son s'arrête. D'un signe de la main, le casque sur les oreilles branché au micro parabolique, il fait signe de faire silence. Le regard concentré, il écoute... quant soudain son visage se rempli d'effroi ! A peine une dizaine de secondes après il convulse, les yeux révulsés, la bave mousseuse sortant de sa bouche, il s'écroule. Nous sommes choqués, mais notre guide arbore quant à lui un large sourire et nous dit dans un français approximatif "Ah ! ça être bien, vouloir dire lui pas loin". Lui ? le dernier des Lourdingos ? étrange...
Après 10 minutes, notre preneur de son reprend des couleurs. Mais reste prostré près d'un arbre, refusant d'aller plus loin. Le guide se propose de rester avec lui, et montre du doigt la direction sud/sud-est. D'après lui le Lourdingos est a à peine 100m dans cette direction. Nous décidons de poursuivre.
Après avoir finalement marcher plus de 500m dans cette direction, un bruit se fait entendre... le feuilles autour de nous bougent... on entend des bruits comme de pas, mais furtifs et rapides... et d'un seul coup il jaillit devant nous !... par contre on s'attendait à tout sauf à ça :
Un imposant bonhomme, muni de petites lunettes rondes, un t-shirt vaguement métaleux et un pantacourt faussement trailli militaire... étrange, vraiment. Je tente un contact amical, lançant un "comment ça va ?" mais je ne suis pas sûr qu'il ait compris mes intentions. En effet, son regard change, ses sourcils se froncent. Il se retourne et sort d'un sac-à-dos ce qui ressemble à un magnétophone ! Incroyable les Lourdingos connaissent la technologie moderne ?! Il appuie sur un bouton, une cassette s'enclenche... Et là, en quelques secondes j'ai compris ce qu'à ressenti notre preneur de son ! Une douleur atroce ampli nos oreilles ! Du magnétophone sort un son pseudo-techno, cheat au possible et particulièrement mal arrangé, où des samples disparates s'alignent les uns à côtés des autres. C'est tellement énorme, que des rictus apparaissent sur la plupart des visages des membres de l'équipe. Certains tombent même dans le fou-rire. Et puis notre Lourdingos commence à chanter est là ça devient carrément une torture ! Jamais dans toute l'histoire de l'humanité on a entendu quelqu'un chanter aussi faux tout en étant persuadé d'avoir un style et une voix génial. La torture que nous subissons réside dans la douloureuse contradiction de souffrir de l'écoute auditive de ce massacre musical tout en pleurant de rire à en avoir mal à l'estomac. Soudain tout s'arrête. Le Lourdingos reprend son attirail et repart dans la jungle.
Nous sommes tous dans un état second, agar, le sang coulant de nos oreilles. Mais ils nous faut maintenant repartir. Mais qui nous croira au retour..."
9.1.11
Et un nanar-malibu-milk-shake, un !
Le nanar auditif ne doute de rien... mais alors de rien du tout !
Preuve ici avec ce monument du "j'en ai vraiment rien à s'couer", bien relevé à la sauce "baobab dans mes deux mains gauches". Mais que voulez-vous, c'est là que le nanar n'en ai que plus drôle et notamment lorsqu'il va jusqu'au bout du bout de son idée.
Avec 34 morceaux pour un total de 19 minutes (!) dont un titre de 4 secondes... on va looooooiiin tout de même, lol. Les musiques tout comme le vrai-faux style "enfantin" du chanteur et de ses "textes" finiront d'achever le plus coriace d'entre vous, étendu de rire sur la moquette du salon. Néanmoins il faudra peut-être une 2ème écoute (ou mieux, commencez d'abord par l'écouter entre potes !) pour l'apprécier à sa juste valeur. Par exemple, moi au début j'avais profondément détesté :)
Le plus drôle avec ce genre de nanar, c'est aussi sa propension a attiré à lui beaucoup de "bizounours", et ça aussi c'est assez drôle...
Preuve ici avec ce monument du "j'en ai vraiment rien à s'couer", bien relevé à la sauce "baobab dans mes deux mains gauches". Mais que voulez-vous, c'est là que le nanar n'en ai que plus drôle et notamment lorsqu'il va jusqu'au bout du bout de son idée.
Avec 34 morceaux pour un total de 19 minutes (!) dont un titre de 4 secondes... on va looooooiiin tout de même, lol. Les musiques tout comme le vrai-faux style "enfantin" du chanteur et de ses "textes" finiront d'achever le plus coriace d'entre vous, étendu de rire sur la moquette du salon. Néanmoins il faudra peut-être une 2ème écoute (ou mieux, commencez d'abord par l'écouter entre potes !) pour l'apprécier à sa juste valeur. Par exemple, moi au début j'avais profondément détesté :)
Le plus drôle avec ce genre de nanar, c'est aussi sa propension a attiré à lui beaucoup de "bizounours", et ça aussi c'est assez drôle...
Nanar tape sur des bambous et c'est pas n°1.
Le nanar musicale aime bien les jeux de mots, et il est convaincu qu'il est très fort à ceci. Ne voulant pas relever ceux de l'artiste présenté ici, je préfère vous laisser les découvrir par vous même (un bon test aussi pour votre nanarttitude, lol)
Sur un air de reggae frenchy des années 80, notre chanteur déballe ses envolées lyriques et particulièrement profondes : "Je suis heureux de vivre... depuis tout p'tit... enfant" ou "Elle a débarqué chez moi, comme échouée d'un naufrage" (lol)
En tout cas, encore un nanar tout tronion tout plein avec ché p'tites mimines... gouzigouzi... hmm, désolé.
Bref, c'est du lourd, du nanar de compèt' et d'un niveau au-dessus incontestablement ;)
Sur un air de reggae frenchy des années 80, notre chanteur déballe ses envolées lyriques et particulièrement profondes : "Je suis heureux de vivre... depuis tout p'tit... enfant" ou "Elle a débarqué chez moi, comme échouée d'un naufrage" (lol)
En tout cas, encore un nanar tout tronion tout plein avec ché p'tites mimines... gouzigouzi... hmm, désolé.
Bref, c'est du lourd, du nanar de compèt' et d'un niveau au-dessus incontestablement ;)
Nanar de star.
"Le nanar ose ! c'est d'ailleurs à ça qu'on le reconnait (aussi) !"
Cette réplique détournée convient à merveille à cet artiste en manque de reconnaissance, de fans déchainés au Stade France, d'une montée des marches à Cannes et d'une tarte à la crème de l'Entarteur. Toute sa frustration est évacué par cette magnifique intro sur un sample de foule en délire, suivi d'un solo avec 2 doigts et un mini ampli. La suite vous révèle le traumatisme profond du musicien : Hélène et les garçons.
Sur un beat batterie des Feux de l'Amour, notre mignon artiste répète à l'infini une boucle molle, mais moooollle, lol, que ça en devient génialissime :) avec en final un solo à la Hendrix... enfin presque.
Le 2ème titre, véritable plagiat de Petit Papa Noël mériterait bien un procès du gros barbu. Mais le solo à 1 doigt (véridique) sur le piano donne vraiment toute sa plénitude à cette incroyable nanar !
Cette réplique détournée convient à merveille à cet artiste en manque de reconnaissance, de fans déchainés au Stade France, d'une montée des marches à Cannes et d'une tarte à la crème de l'Entarteur. Toute sa frustration est évacué par cette magnifique intro sur un sample de foule en délire, suivi d'un solo avec 2 doigts et un mini ampli. La suite vous révèle le traumatisme profond du musicien : Hélène et les garçons.
Sur un beat batterie des Feux de l'Amour, notre mignon artiste répète à l'infini une boucle molle, mais moooollle, lol, que ça en devient génialissime :) avec en final un solo à la Hendrix... enfin presque.
Le 2ème titre, véritable plagiat de Petit Papa Noël mériterait bien un procès du gros barbu. Mais le solo à 1 doigt (véridique) sur le piano donne vraiment toute sa plénitude à cette incroyable nanar !
Ma tête est pleine... et vide à la fois, lol.
Je vous ai déjà parlé du nanar prétentieux ? on en avait déjà un jolie spécimen sur Pire tout Pire, mais là ça force le respect, lol.
Au départ du nanar au nombril énorme il a un étrange concept... euh, le concept justement. Du style :
Au départ du nanar au nombril énorme il a un étrange concept... euh, le concept justement. Du style :
"Hé les mecs, si on se la jouait genre j'ajoute des mots piqués à ma téloche, ou des sons bizarroïdes en boucle ?Le Pire c'est que cette conversation a peut-être réellement eu lieu. Toujours est-il ce nanar est à la limite de l'imposture. Certains le rangeront même peut-être dans la catégorie des navets. Perso, j'y vois juste un petit nanar et surtout à cause de la stupéfiante bêtise du propos à l'incroyable vacuité qui finit par révéler un rictus désabusé :)
-Ah ouè délire ! et moi je pourrais répéter des phrases bidons pour me la raconter grand philosophe !
- Grand philosophe ?
- Bin wouè, tu sais genre j'te dis un truc que tu comprends pas pour bien te faire comprendre que t'es un débile et que je suis plus intelligent que toi ?
- Mais tu comprendrais c'ke tu dis ?
- Bin non, mais toi non plus, c'est ça l'concept ! génial, non ?
- Carrément !!!"
"Dis pôpa, c'est quoi ce CD... bizarre ?"
Le petit monde de la musique libre est parfois confondu avec celui, non moins merveilleux, du partage de vidéos in ze net via youtube, dailymotion and Co.
Si naïveté et inconscience (une bonne dose d'ailleurs) ont créer une quasi industrie du buzz internet, sur des sites comme Jamendo cela a des répercussions, disons curieuses. Bin oui, ça fait du nanar, avec droits d'auteurs reconnus et licences de partage, excusez du peu monsieur.
Voici ici un cas, certes attendrissant (à moins d'être infanphobique), d'un père se couvrant néanmoins de ridicule dans un album MonthyPitesque sous amphétamines, avec une voix et des textes si sérieux qu'ils donneront de bonnes crampes abdominales aux anglophiles. Incontestablement un nanar candide :)
Si naïveté et inconscience (une bonne dose d'ailleurs) ont créer une quasi industrie du buzz internet, sur des sites comme Jamendo cela a des répercussions, disons curieuses. Bin oui, ça fait du nanar, avec droits d'auteurs reconnus et licences de partage, excusez du peu monsieur.
Voici ici un cas, certes attendrissant (à moins d'être infanphobique), d'un père se couvrant néanmoins de ridicule dans un album MonthyPitesque sous amphétamines, avec une voix et des textes si sérieux qu'ils donneront de bonnes crampes abdominales aux anglophiles. Incontestablement un nanar candide :)
2.1.11
Mieux que le Peer to Peer :)
Bienvenu à toutes et tous, je me présentes je m'appelle Bob. Euh en fait non, chefgeorges, ça s'inscrit en dessous.
Bref, première mise au point : si j'ai pris tout seul comme un grand l'initiative de ce blog (qui me trottait dans la tête toute même depuis un moment) je n'ai fait que compiler les découvertes des uns et des autres sur le forum de Jamendo. Je remercie aussi en premier Cire de Sacub qui fut l'initiateur de ce topic merveilleux.
Mais au fait, c'est kea un nanar ? Tout d'abord ce n'est pas vraiment un navet. Un navet est juste un ratage complet qui ne laisse que frustration, colère et dégoût sur son passage. Non un nanar dépasse très largement ce statut. Un nanar atteint un tel niveau de grand guignolesque, voire de douce folie, qu'il ne peut que encourager l'hilarité malgré lui.
Sans plus attendre voici une première sélection succulente de nanars auditifs en tout genre.
Aaah... Jean Barbera (ou Jean Satebarbera si vous voulez) c'est un peu la perle parmi les mollusques. Gentil boulet, ce grand nunu naïf rêvant de monter les marches de Canne, c'est un peu le Jean Ferrat de la fête de la bière de Melun (désolé Jean, je le ferrai plus...).
Sous couvert de musique "festive", notre bon Jean tente la transformation en bonhomme en mousse. Problème... le texte, lol. Extraits :
Bref, première mise au point : si j'ai pris tout seul comme un grand l'initiative de ce blog (qui me trottait dans la tête toute même depuis un moment) je n'ai fait que compiler les découvertes des uns et des autres sur le forum de Jamendo. Je remercie aussi en premier Cire de Sacub qui fut l'initiateur de ce topic merveilleux.
Mais au fait, c'est kea un nanar ? Tout d'abord ce n'est pas vraiment un navet. Un navet est juste un ratage complet qui ne laisse que frustration, colère et dégoût sur son passage. Non un nanar dépasse très largement ce statut. Un nanar atteint un tel niveau de grand guignolesque, voire de douce folie, qu'il ne peut que encourager l'hilarité malgré lui.
Sans plus attendre voici une première sélection succulente de nanars auditifs en tout genre.
Aaah... Jean Barbera (ou Jean Satebarbera si vous voulez) c'est un peu la perle parmi les mollusques. Gentil boulet, ce grand nunu naïf rêvant de monter les marches de Canne, c'est un peu le Jean Ferrat de la fête de la bière de Melun (désolé Jean, je le ferrai plus...).
Sous couvert de musique "festive", notre bon Jean tente la transformation en bonhomme en mousse. Problème... le texte, lol. Extraits :
"Pour ceux qui ont la grosse tête, pas bien dans leurs basckets"Vous découvrirez d'autres rîmes assez incroyables (Jean Satebarera, c'est tout pour la rîme ! à fond, lol) mais à aucun moment vous ne découvrirez ce qu'est cette recette magique : la chouille... mystère que Jean emportera peut-être dans la tombe qui sait...
"Les je-sais-j'ai-tout-vu, les je-t'aime-moi-non-plus"
"Les gros bras du dimanche qui n'ont rien dans les manches"
(...) Nous on a truc béton pour s'prendre le champignon (...) ON VA FAIRE LA CHOUILLE !"
L'amour c'est bô... le nanar en fait un gague.
Alors là c'est mon petit chouchou. Le genre de nanar au capital sympathie énorme. C'est aussi un bon cas d'école du phénomène de starification qui touche beaucoup de monde, à l'ère de youtube et consort.
Ce single est un authentique nanar romantique. Ce nanar bien particulier se veut poète (du dimanche, forcément), cultive la naïveté voire la niaiserie avec bonheur et érige la bof'attitude à un niveau stratosphérique (au joie !).
Tenez, ici : imaginez une fille qui fait "ouhaahouh" en chantant faux, avec un effet réverb' métallique, histoire de noyer l'poisson (... dans l'acide, lol), le tout sur une musique qui donne l'impression qu'on a utilisé comme instru une baudruche gonflée dont on pince l'ouverture pour faire siffler l'air, avec en plus un flow speedy-gonzales où le rappeur nous explique comment il est un gros relou qui comprend que dire "t'es une grosse bouze" à sa chérie ça a des conséquences... définitives :)
Et on est gâté jusqu'au bout, avec un texte énorme, juste un mo.nu.ment du genre ! En fait il faut absolument le télécharger pour créer une vidéo buzz sur youtube, lol.
Ce single est un authentique nanar romantique. Ce nanar bien particulier se veut poète (du dimanche, forcément), cultive la naïveté voire la niaiserie avec bonheur et érige la bof'attitude à un niveau stratosphérique (au joie !).
Tenez, ici : imaginez une fille qui fait "ouhaahouh" en chantant faux, avec un effet réverb' métallique, histoire de noyer l'poisson (... dans l'acide, lol), le tout sur une musique qui donne l'impression qu'on a utilisé comme instru une baudruche gonflée dont on pince l'ouverture pour faire siffler l'air, avec en plus un flow speedy-gonzales où le rappeur nous explique comment il est un gros relou qui comprend que dire "t'es une grosse bouze" à sa chérie ça a des conséquences... définitives :)
Et on est gâté jusqu'au bout, avec un texte énorme, juste un mo.nu.ment du genre ! En fait il faut absolument le télécharger pour créer une vidéo buzz sur youtube, lol.
Le nanar aime les égos démesurés.
Une des caractéristiques du Nanar est sa prétention. Et oui si il arrive que certains musiciens se transcendent eux-même pendant leurs phases créatives, pour d'autres... on se demande si ils ne sont pas en fait seulement très concentré sur la mouche écrasée au fond de leur tasse. Leur œil frétille, ils se vident la tête, pensant sûrement que ça aide pour l'inspiration... d'avoir la tête vide... (no coment) Et là, tout en tentant de refaire la racine carré de Py de tête (encore... mais plus vide sinon ça... arrgh vous m'avez compris, non ?), ils laissent un doigt se dirriger vers le clavier, qui n'était pas loin bien entendu.
Bref le nanar intello se la pète avec des sons qui font wizz, des fréquences qui fréquencent et des boutons qui tournent. Conditions indispensables de ce type de nanar : 1) plus c'est long... plus c'est long, lol. On n'hésite pas à répéter sans fin des "séquences musicales" voire à rester appuyer sur une même note pendant des lustre. 2) Faut exploser tous les records. Avec un titre de 56 minutes, notre artiste ne prend ici aucun risque (pfff, petit joueur). 3) Enfin, il faut savoir mettre une touche underground dans sa compo, se la jouer style musique aléatoire. Sauf qu'avec peu d'imagination ça donne juste des fausses notes, lol.
Aaah, le nanar intello... c'est cool, mais c'est tout de même supra gonflant :)
Bref le nanar intello se la pète avec des sons qui font wizz, des fréquences qui fréquencent et des boutons qui tournent. Conditions indispensables de ce type de nanar : 1) plus c'est long... plus c'est long, lol. On n'hésite pas à répéter sans fin des "séquences musicales" voire à rester appuyer sur une même note pendant des lustre. 2) Faut exploser tous les records. Avec un titre de 56 minutes, notre artiste ne prend ici aucun risque (pfff, petit joueur). 3) Enfin, il faut savoir mettre une touche underground dans sa compo, se la jouer style musique aléatoire. Sauf qu'avec peu d'imagination ça donne juste des fausses notes, lol.
Aaah, le nanar intello... c'est cool, mais c'est tout de même supra gonflant :)
Jacky Daniel... D(T?)assin is back !
Attention, ici on a du lourd, du nanar de compet'. Car Jacky Daniel il ne rigole pas avec la musique. Musique flute de pan et variété 80's, grosse voix grave entre Dassin et Daho, et des textes bien sûr :
Bref, Jacky Daniel représente dignement son pays natale :)
"Alors j'ai compris, y'a rien à changer... j'ai toujours besoin de me noyer dans cette océan de tendresse, tu as réussit Man' (?) tu as fait de moi un homme (hin?)"Le comble c'est que notre chanteur à la moustache et au ciré gris n'a pas compris les principes de base de la rythmique des mots sur les notes. Du coup par moment ça se bouscule pour tout faire tenir dans une phrase, ou on ajoute le p'tit mot de trop, enfin avec une syllabe de trop ("...encore!" lol).
Bref, Jacky Daniel représente dignement son pays natale :)
Nanar qui s'assume.
Il est des nanars qui sont en fait de vibrants hommage. Si vous avez encore du mal à définir ce qu'est un nanar, vous aurez ici une explication largement illustré : musique midi-du-pauvre, voix yaourt, texte profond (lol), grain de folie, beaucoup de "plus j'm'enfonce, plus j'y cours !".
Nanar Mouskouri c'est un peu le Jean-Michel Jarre du Nanar. Perso je suis fada et fan du style "one finger show" de beaucoup de ses titres. Avec en plus cette petite touche personnel consistant à ajouter deci delà des sons complètement incongrus.
Mais est-ce vraiment un nanar ? Et oui vu que le type c'est de quoi il parle et ne sans cache pas. Je dirais oui, tout d'abord parce que tous les codes y sont, et aussi pour rendre hommage à l'exercice de style de l'auteur (on sent quand même son affection pour l'état d'esprit nanar).
Le propre du nanar, à la différence du navet, est de faire passer un bon moment (souvent de franche rigolade entres potes) et c'est finalement le contrat bien rempli (à une ou deux exceptions près) de cet album.
Nanar Mouskouri c'est un peu le Jean-Michel Jarre du Nanar. Perso je suis fada et fan du style "one finger show" de beaucoup de ses titres. Avec en plus cette petite touche personnel consistant à ajouter deci delà des sons complètement incongrus.
Mais est-ce vraiment un nanar ? Et oui vu que le type c'est de quoi il parle et ne sans cache pas. Je dirais oui, tout d'abord parce que tous les codes y sont, et aussi pour rendre hommage à l'exercice de style de l'auteur (on sent quand même son affection pour l'état d'esprit nanar).
Le propre du nanar, à la différence du navet, est de faire passer un bon moment (souvent de franche rigolade entres potes) et c'est finalement le contrat bien rempli (à une ou deux exceptions près) de cet album.
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